L’ambiance à l’Hôtel de Ville lors du Conseil Communal étonne souvent le visiteur qui s’y aventure pour la première fois. Arrivée à l’heure, je constate que les bancs sont plutôt vides, bien que tout soit en place pour la présentation de la « cellule d’audit » qui va être faite en début de séance. Peu à peu, les conseillers et les échevins arrivent. Une petite demi-heure de retard, ici on ne parle pas de « quart d’heure académique ». On se salue, on prend les nouvelles. Dans l’opposition, chacun veut connaître quels sont les questions que l’autre va poser et comment les points présentés par le collège vont être votés. Il y a 176 points en tout. Ceux-ci demandent un examen différent : des points qui constituent des décisions avec engagement de budgets importants ou du point plus de gestion sur des nominations ou de mises à la pension, par exemple.
Le Conseil Communal débute donc par la présentation de la « Cellule d’audit ». Elle est composée de fonctionnaires détachés et de représentants du bureau d’audit KPNG sous le contrôle d’un comité d’audit constitué du Bourgmestre, de deux échevins, d’un secrétaire et d’un receveur communal. L’ambition est de faire un suivi ou un monitoring assez exhaustif de l’ensemble des services et des départements de l’administration pour mesurer « la mise en œuvre de la déclaration de politique générale de la majorité ». Il s’agit également de s’assurer de la fiabilité des rapports financiers et du système de contrôle financier, ainsi que de l’efficacité du système de contrôle interne. La cellule fera un rapport au Conseil Communal chaque année. Ce système d’audit doit faire ses preuves. Le caractère indépendant que l’on imagine volontiers pour ce genre d’outil n’est pas présent. Ici, il s’agit d’un outil interne. (Voir lettre d’information datant du 23 mars 2010)
Lors de la réunion du Conseil Communal, je suis intervenue sur les décisions en matière d’expropriations dans le cadre du contrat de quartier Rouppe, sur le mesures à prendre par les services de la Ville pour l’entretien du parc de Bruxelles qui se trouve dans un triste état, sur les mesures à prendre par la Ville en faveur de la protection des quartiers habités autour de l’axe de la rue de la Loi et sur le suivi de la situation des jeunes basketteurs du club Atomia en dispute avec l’Echevin des sports. Un nouveau club de sport a été créé, le Royal 4, pour permettre aux quelques 300 jeunes de pratiquer leur sport au Palais du Midi. Mais cela a demandé une nouvelle aide de 20.000 euros via la Ville et son asbl Prosport.
Le contrat de quartier « Rouppe » laisse de plus en plus les habitants de ces quartiers sur un sentiment flou. Malgré les procédures de concertation mises en place, l’évolution des projets se fait selon une logique qui n’est pas à l’attention des habitants : manque d’espaces verts ou d’espaces de jeu de qualité, la fonction hôtel ou d’appart hôtels prend trop d’ampleur par rapport au logement, le parking privé est à destination des autres usagers alors que le quartier aspire à plus de tranquillité et qu’il est très bien desservi par les transports publics.
En ce qui concerne le Parc de Bruxelles, nos demandes sont diverses : une meilleure gestion, une sensibilisation des usagers au respect de son entretien, de meilleures plantations respectueuses de l’environnement (rétention des terres, pas de désherbants toxiques par exemple). Le Collège m’a répondu positivement en indiquant que suite à mes interpellations précédentes, ils avaient à la fois dégagé un budget pour la remise en état du parc et procédé à des engagements au sein du service. Pour rappel, le Bois de la cambre et le Parc de Meudon, pour ne citer que ceux-là, demandent également un meilleur entretien.
Enfin, la Ville a un rôle à jouer dans le cadre du projet régional du « Plan Urbain Loi » qui vise à construire un nouveau quartier européen rue de la Loi. Les effets sur les quartiers habités du « quartier européen » sont et seront fortement ressentis. Ces effets seront l’expansion des bureaux et de l’horeca, l’augmentation des prix et la difficulté de voir la possibilité de respecter la condition de créer 30% de logement dans les bâtiments qui seront abandonnés par la Commission européenne. Ces conséquences demandent une action de la Ville y compris via un plan particulier d’affectation du sol (PPAS) pour rendre ce changement réel. Or la Ville n’a pas de projet à court terme en la matière. Elle avait initié, à la demande de la Région, un projet de PPAS sur le seul périmètre de la rue de la Loi pour rendre possible le doublement de la surface bâtie etc. De la réponse du Collège hier, je retiens que cette tâche reviendrait à la Région. Un marché avait bel et bien était passé par la Ville avec un auteur de projet. Une première tranche avait été liquidée. Mais il reste à savoir quelle sera la suite. L’enjeu est très important en matière de réparation du lien entre les citoyens, les habitants et les institutions européennes. J’ai eu l’occasion d’ailleurs d’intervenir à la Région au sujet du « PUL ».
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