Des cubes comme s’il en pleuvait !

Des cubes publicitaires sont apparus, il y a peu, à divers endroits stratégiques de notre capitale, comme me le faisait remarquer mon collègue Ahmed Mouhssin.

Ceux-ci posent un certain nombre de problèmes quant à notamment l’envahissement de l’espace public par la publicité. La ville en est déjà largement saturée. Cependant, des zones sont aménagées comme autant de respirations au travers sildenafil vardenafil tadalafil de superficies verdoyantes ou l’installation d’œuvres d’art. Ces dernières se remplissent malheureusement de ces cubes de 3 mètres sur 3. Cela altère considérablement la qualité de vie de la ville. Mais cela pose également des questions sur la sécurité et la distraction des conducteurs.

Ces cubes ont été autorisés par la Direction gestion et entretien des voiries de Bruxelles Mobilité pour la période du 1er octobre 2011 au 31 décembre 2011. La société, qui les fournit, les a laissés en place depuis le 1er janvier 2012, sous la forme d’armature métallique. Cette dernière est recouverte d’une bâche publicitaire pour une période de 3 mois. Or la http://essayonline-club.com/ réglementation sur les permis d’urbanisme interdit sildenafil tablets 120mg le maintien de ce type de structure en attendant de changer les bâches tous les 3 mois.

J’ai interrogé le Secrétaire d’Etat viagra doesnt work chargé de l’Urbanisme au cours de la Commission Aménagement du territoire qui se tenait ce mercredi 29 février http://essayonline-club.com/ 2012 au Parlement Régional bruxellois. Monsieur Kir a confirmé l’illégalité de ce type d’installations cialis reviews publicitaires sur la Région bruxelloise. Aucun permis d’urbanisme n’a été délivré depuis le 31 décembre 2011. Or celui-ci est nécessaire selon l’article 98 du Code bruxellois de l’aménagement du territoire (Cobat) et ainsi que le prévoit aussi le règlement régional d’urbanisme (RRU) qui par son titre IV, chapitre 4, balise la publicité en espace public.

Et d’appuyer mon interpellation, le Secrétaire d’Etat a déclaré qu’ « en combinaison avec d’autres éléments, tel que le mobilier, une impression d’encombrement de l’espace public peut transparaître, ce qui est à obligatoirement éviter. cialis dependency Cette notion retient toute l’attention de mon administration ». Le fonctionnaire délégué a été mandaté afin de demander la régularisation http://spyoncell-phone.com/ de la situation litigieuse.

Ecolo demande le retrait de people who write essays for students ces cubes publicitaires ainsi qu’une réflexion sur l’utilisation de l’espace public. S’il existe le besoin de lieux de communication institutionnelle à Bruxelles, Ecolo suggère qu’on réfléchisse donc à l’utilisation des dispositifs existant, dont les espaces Villo.

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