Alors que l’on connaît les noms des entreprises candidates à la construction de la plus grande prison du pays sur le territoire de Haren, un débat au conseil communal de Bruxelles-Ville (Haren est sur Bruxelles-Ville) a tourné court. Pourtant, le problème est énorme.
Sol pelé
La conseillère communale Marie Nagy (Ecolo) a questionné le bourgmestre à propos «de cette prison de 120.000 mètres carrés (dont on discute) sans aucune transparence». L’élue s’interroge notamment sur «la difficulté d’accès (du site) en transport public».
Marie Nagy s’est aussi inquiétée de ce que «la construction de la prison aurait comme conséquence de détruire le dernier espace vert de cette taille à Haren, au grand dam des habitants». Le collège, dit-elle, «s’est dit soucieux de l’intérêt des Harenois (mais) il me semble qu’il s’agit plus de vœux pieux que d’actions réelles».
On peut rassurer Marie Nagy tout de suite. Si l’élue pense vraiment que la construction de la prison aura pour conséquence «de détruire le dernier espace vert de cette taille à Haren», il convient de se saisir de son dictionnaire pour y consulter la définition d’espace vert. Votre serviteur s’est rendu sur place: l’emplacement prévu, entre la rue du Witloof (sic) et la rue du Keelbeek, est tout bonnement hideux: nature dévastée, sol pelé, arbres décharnés, environnement de bâtiments industriels abandonnés, horizon bouché par une voie de chemin de fer et un viaduc, maisons plantées là sans qu’on sache trop qui y habite ou y fait quoi.
Ingérable
Le site ne peut qu’être amélioré par une construction qui, toute carcérale qu’elle soit, attirera quotidiennement un public nombreux (1.000 membres du personnel, visiteurs) et sécurisera un quartier qui pour le moment tient de la zone.
Le problème n’est donc pas là. Ou plutôt il en occulte un autre. Marie Nagy a raison de mettre le doigt sur le problème de la mobilité. Pour le moment, le quartier où sera implantée la prison de Haren n’est desservi que par une ligne de bus (le 64). La nouvelle ligne de tram 62 stoppe au parc d’affaires Da Vinci et le terminus de la future ligne de métro Nord est prévu quasi au même endroit (station Bordet). La distance par rapport à la prison? 2,5km. Il y a deux gares de la SNCB à Haren.Hélas, elles sont à 1 km de la prison.
Conclusion?
Ingérable.
Jean Blavier
L’Echo (16/03/2012)
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Laurent Moulin
Monsieur Blavier la prison ne s’arrête malheureusement pas à la rue du Keelbeek mais va au delà !
Des peleteuses on déjà ravagé le champ de maïs, c’est certain, mais l’est de la rue du Keelbeek est tout ce que nous demandons et une zone verte de détente fort courue.
Nous reprochons justement le fait qu’on nous a présenté longtemps le projet de prison autour de la rue du Chicon. Nous nous sommes révolté pour plusieurs raisons:
– le projet est lancé et nous n’avons pas de réponse mobilité
– idem pour la sécurité ou autre compensation
– le projet détourne le keelbeek et s’étale à l’Est du Keelbeek en détruisant le parc des télétubies et la zone calcaire avec les cornouillez, la zone humide et les lapinières. Je peux vous fournir des photos qui ne présentent pas la zone comme sinistrée.
Je tente de vous contacter pour toucher ce point qui m’apparait encore plus crucial qu’au départ après toutes les rencontres faites dans la zones les dernières semaine.
Bien à vous,
Laurent Moulin